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Électrification des équipements de manutention

Dans le cadre d’un projet d’audit énergétique, le Port de Trois-Rivières a bénéficié d’un accompagnement de l’Institut du véhicule innovant (IVI) œuvrant dans le domaine des véhicules électriques commerciaux et de l’infrastructure de recharge qui y est rattachée. Une équipe de recherche a visité le Port en septembre afin de recenser les véhicules en opération et par le fait même vérifier la disponibilité de véhicules zéro émission équivalents. Plusieurs fournisseurs offrent des véhicules électriques disponibles à l’achat tel que des chariots élévateurs, des chargeurs, des excavatrices, des balayeuses de rues et des véhicules légers pour le transport d’outils et de personnel. Bien que ces versions électriques soient généralement de moindre capacité que l’actuel, leur acquisition pourrait permettre d’accomplir plusieurs tâches tout en favorisant la mise en place d’une infrastructure de recharge.

Le Port de Trois-Rivières s’assure, pour tous ses projets de modernisation, de déployer les infrastructures nécessaires pour répondre aux besoins d’alimentation électrique des futures activités de manutention carboneutres. Les nouvelles sous-stations électriques offrent suffisamment de marge pour installer des équipements très puissants, tant au niveau de la puissance raccordée que de la puissance disponible. De plus, des conduits ont été installés en prévision du tirage de câbles pour répondre aux besoins d’alimentation à des endroits distants sans avoir à réaliser d’importants travaux d’excavation.

Rappelons que l’IVI a offert ses services dans le cadre d’un mandat dirigé par Innovation maritime avec l’appui du Fonds Écoleader. Ce projet s’insère dans le plan stratégique Cap sur 2030 du Port de Trois-Rivières afin de permettre de réaliser son objectif de carboneutralité d’ici 2050.

Luc Forcier

Directeur Finances et Administration

Fait partie de l’équipe depuis 16 ans

 

Explique-nous ton cheminement de carrière.

J’ai débuté ma carrière au sein de bureaux comptables pendant les six premières années. Par la suite, j’ai travaillé pour une compagnie de construction à Montréal. Je me suis rendu compte que ce n’était pas l’emploi pour moi. Puis, une offre d’emploi a été affichée par Ports Canada pour aller travailler au Port de Belledune au Nouveau-Brunswick. C’est en 1997 que j’ai débuté comme comptable dans le domaine portuaire. Mon emploi au Port de Belledune m’a permis d’en apprendre beaucoup sur le fonctionnement des administrations portuaires.

En 2005, le poste à l’Administration portuaire de Trois-Rivières a été ouvert. À la suite d’un processus d’embauche, j’ai été sélectionné et je suis en poste depuis ce temps.

Peux-tu nous parler d’un accomplissement professionnel dont tu es fier?

Mon plus grand accomplissement professionnel en carrière a été lors de mon embauche au Port de Belledune en 1997. En fait, avant mon entrée en poste, la comptabilité du Port était gérée à Ottawa chez Ports Canada. J’ai donc dû, dès mon arrivée, tout mettre en place pour effectuer mon mandat, en passant même par faire l’achat d’un ordinateur et choisir un logiciel comptable et de facturation pour les navires.

Jusqu’en 1999, le Port de Belledune était géré comme une division de la Société canadienne des ports. Puis en 2000, il a été converti en administration portuaire canadienne et il a donc fallu rédiger les lettres patentes, ce qui a été un beau défi pour moi. Lorsque je suis arrivé à Trois-Rivières, ce fut un avantage puisque je connaissais mieux le fonctionnement d’une administration portuaire, en plus d’avoir les mêmes logiciels comptables à ma portée. Mon intégration à l’APTR s’est effectuée plus facilement.

Parle-nous de ton rôle en tant que directeur Finances et Administration au Port de Trois-Rivières.

Je suis un peu comme le gardien des chiffres, et ce, autant lors des périodes de planification stratégique, d’élaboration des budgets et des plans d’action, qu’au quotidien pour le suivi des entrées et sorties d’argent. Mon rôle en tant que directeur Finances et Administration est très large et mes tâches varient en fonction de la période du mois et de l’année.

J’ai également un rôle en gouvernance en ce qui a trait aux politiques d’achats et de placements, en plus des procédures financières de l’APTR.

Les domaines de la finance et de l’administration exigent de la précision et de la rigueur. On doit s’assurer que toutes les actions sont conformes et lorsqu’un débalancement est détecté, on doit analyser la situation pour la rétablir, c’est essentiel. J’ai également un rôle de support auprès de mes collègues pour tout ce qui concerne notre fonds de pension et nos assurances collectives. Bref, mon rôle est varié et c’est ce qui me plait!

Quelles sont tes implications communautaires? Et pourquoi t’impliques-tu auprès de ces organismes?

Je fais partie des conseils d’administration de Festivoix, de la Fondation du Club Richelieu et de la Chambre de commerce et d’industries de Trois-Rivières.

Mon implication au Festivoix a commencé il y a plus de 10 ans, lorsque j’ai décidé de faire du bénévolat pendant l’événement. J’ai choisi de travailler à la cuisine afin d’offrir les repas aux bénévoles. Trois ou quatre éditions plus tard, le président du conseil d’administration m’a approché pour me proposer le poste de trésorier. J’ai accepté avec grand plaisir et j’en suis à ma sixième année déjà. Mon mandat est encore valide pour deux ans.

Depuis un an, je fais partie du conseil d’administration de la Fondation du Club Richelieu, en plus d’être membre du Club. Cet organisme me tient vraiment à cœur car il a pour mission de soutenir les jeunes défavorisés. La Fondation remet de l’argent à différents organismes de la région afin de les aider dans leur mission.

Finalement l’an dernier, j’ai été choisi à titre d’administrateur au conseil d’administration de la Chambre de commerce et d’industries de Trois-Rivières. Cette année, je suis trésorier et membre du comité d’audit. J’ai décidé de m’impliquer au sein de la Chambre car je trouve important de faire rayonner la région et de voir plusieurs projets intéressants prendre vie.

Étant très occupé et impliqué dans la région, on est curieux de savoir ce que tu fais dans tes temps libres?

L’été j’aime bien faire du vélo et de la course. Pour l’hiver, évidemment avec la pandémie nous n’avons pas eu la chance de sortir du Canada, mais j’aime faire des voyages et profiter de la chaleur des autres pays.

Jimmy Hamel
Analyste en SIG et Logistique

Fait partie de l’équipe du Port de Trois-Rivières depuis 2016.

 

Jimmy, raconte-nous le parcours universitaire qui t’a mené jusqu’au Port.

J’ai fait un baccalauréat en géographie à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Par la suite, je me suis spécialisé en géomatique en suivant un microprogramme de 2e cycle à l’Université Laval.

La géomatique est peu connue, mais pourtant bien répandue. Il en est question aussitôt qu’il est possible de cartographier une donnée. Dans le milieu portuaire, la géomatique peut se traduire par l’analyse des origines et destinations des différents navires, le suivi des flottes de camions ou encore par la gestion des aires d’entreposage.

Lors de mon stage de fin de baccalauréat en 2016, j’ai déposé ma candidature au Port de Trois-Rivières où un étudiant en géomatique était recherché. Ils avaient besoin de quelqu’un pour élaborer la cartographie numérique et interactive des infrastructures. À ce moment, le quai 13 était en construction et j’ai eu pour défi de géoréférencer les plans d’ingénierie et de récupérer un maximum d’informations en lien avec les infrastructures afin d’alimenter notre carte interactive. Les informations qui s’y retrouvent peuvent être en lien avec un hangar spécifique, la capacité portante d’un quai et bien plus, et elles sont disponibles avec un simple clic sur la carte numérique. Lorsque j’ai terminé mon stage, j’ai eu l’occasion de mettre mes compétences au service du département du développement des affaires à l’intérieur duquel l’on m’a offert un poste à temps plein. C’est avec honneur que j’ai accepté!

Peux-tu nous expliquer à quoi ressemble ton quotidien?

Cette question est assez difficile à répondre car mes journées sont toujours différentes. On me surnomme monsieur Chiffres, car si quelqu’un cherche une donnée quelconque, je suis la personne vers qui mes collègues se tournent pour l’obtenir! De ce fait, je peux autant me retrouver à analyser les revenus de trafic, qu’à faire des statistiques de tonnage ou encore cartographier les aires d’entreposage disponibles. Plus récemment, je participe au déploiement du projet pilote de modélisation routière SMATS et apporte mon aide au projet mené par l’UQTR de représentation virtuelle du Terminal 21 se nommant « jumeau numérique ».

Qu’est-ce qui te motive le plus chaque matin quand tu commences ta journée de travail?

En raison de mon quotidien varié, c’est très motivant de ne pas tomber dans la routine et de pouvoir participer à une multitude de projets. J’aime particulièrement lorsque j’ai à implanter des outils Excel avec des programmations pour faciliter le travail de mes collègues. C’est valorisant lorsqu’un projet se réalise et que j’ai pu y apporter ma contribution.

L’innovation étant au cœur du quotidien au Port de Trois-Rivières, comment elle s’applique dans ton travail?

L’Administration portuaire de Trois-Rivières est une petite équipe où chaque membre met son expertise et ses connaissances à contribution. Dans mon cas, mes aptitudes en géomatique m’ont permis d’exploiter efficacement une grande quantité de données accumulées au fil du temps, mais peu utilisées avant mon arrivée. Bien que le traitement de ces données ne soit pas une innovation en soi pour quelqu’un issu de mon domaine, j’aime croire que ma contribution est innovante pour le Port puisqu’on ne le faisait pas avant. L’automatisation que j’ai été à même de réaliser, dans le traitement de plusieurs bases de données, a contribué de façon significative à simplifier les tâches de plusieurs départements. Il est important que l’information soit bien structurée, facilement accessible et compréhensible. Présentement, je travaille de concert avec mon collègue Charles afin de développer de nouveaux outils pour le Port et ainsi optimiser le traitement de l’information.

Finalement, on veut en connaître un peu plus sur toi. Quels sont tes passe-temps en dehors des heures de travail?

J’aime particulièrement tous les sports d’un triathlon, soit le vélo, la natation et la course à pied. Je fais aussi de la musculation.

Avec la construction de ma maison l’an dernier, j’ai mis la main à la pâte et j’ai beaucoup bricolé pour la mettre à mon goût. Je me suis découvert des talents manuels, jusqu’alors inconnus, et je dois avouer que j’en suis très fier!

Claudie Gagnon
Directrice Développement durable

Claudie fait partie de l’équipe du Port de Trois-Rivières depuis septembre 2016.

 

 

Quelles sont ta formation et expérience de travail en lien avec le développement durable?

Je suis biologiste de profession et j’ai une maîtrise en sciences de l’environnement. Je suis spécialisée en écotoxicologie, ce qui me permet de bien comprendre l’impact des contaminants dans l’environnement.

Avant de joindre l’équipe du Port de Trois-Rivières, j’ai travaillé comme consultante en environnement pendant 20 ans. Mon travail consistait principalement à soutenir plusieurs promoteurs publics et privés pour l’obtention des différents permis d’autorisation nécessaires afin de concrétiser leur projet, notamment dans le secteur minier et celui des pâtes et papiers.

Quels sont les rôles et les tâches qui te sont attribués en tant que directrice Développement durable au Port de Trois-Rivières?

De façon générale, mon rôle est de supporter les différentes directions en matière d’environnement et de développement durable. Pour ce faire, je conçois et j’applique des politiques, des réglementations et des procédures sur différents sujets en environnement. Par la suite, je mobilise toute l’équipe vers des orientations connectées au développement durable, au sein de la planification stratégique et des nouveaux projets.

Le développement durable doit être ancré dans les façons de penser de chacun afin d’amener les projets portuaires plus loin. En fait, ce n’est pas à une seule personne de faire respecter les orientations durables, il faut que chacun y contribue. Et mon travail est d’épauler et de conseiller mes collègues pour atteindre ces buts.

Lorsqu’un nouveau projet est soumis au comité de direction, il est de mon devoir de m’assurer que les aspects du développement durable ont bien été respectés. Je vais présenter des suggestions à mes collègues afin d’améliorer les composantes de leur projet. Par exemple, je vais suggérer un ajout de végétation ou proposer un meilleur équilibre entre les dimensions sociales, environnementales et économiques.

Concernant les manutentionnaires, mon rôle est de travailler avec eux pour les aider à créer des plans d’action qui sont liés à l’amélioration continue de leur performance environnementale. Le but de ces plans est de mesurer et de suivre l’évolution des améliorations qui auront été apportées tout au long du projet.

Qu’est-ce qui te motive dans ton travail?

Ce qui me motive le plus dans mon travail, c’est de ressentir la satisfaction d’avoir contribué à l’amélioration continue des performances de l’équipe en matière de développement durable. On peut penser qu’un petit geste posé en environnement ne fait pas beaucoup de différence sur le coup, mais lorsqu’on fait un retour en arrière à la fin de l’année, on se dit qu’on a réussi à faire une différence au Port parce que c’est mieux que c’était l’an passé, et que se sera encore mieux l’an prochain.

Nous avons lancé l’an dernier deux fonds, soit le fonds Environnement et le fonds Innovation. Ces deux fonds sont vraiment stimulants pour mon travail, car ils permettent aux manutentionnaires d’aller plus loin pour créer des projets durables. Ils forcent la communauté portuaire à pousser plus loin leurs idées afin de maximiser les retombées en matière d’environnement.

Bref, c’est lorsqu’on réalise de nouveaux projets et qu’on réussit à faire une différence et à voir l’amélioration continue que je me sens valorisée, car je sais que mes efforts ont contribué à améliorer le Port. C’est ce qui nous stimule à viser toujours plus haut et se dire que ce sera toujours mieux.

Finalement, quels sont tes activités et passe-temps personnels?

J’aime beaucoup faire des promenades en pleine nature. Aussi, j’aime bien faire du ski pendant l’hiver où je me mets au défi dans les bosses et sous-bois!

André Desjardins
Maître de port

Maître de port au Port de Trois-Rivières depuis 2013. Il a été auparavant expert maritime pour différentes organisations.

 

 

Quel est le parcours scolaire nécessaire pour faire ton travail?

Il n’y a pas de parcours scolaire particulier à suivre pour être un maître de port. En fait, chaque port peut décider des compétences et connaissances qu’il ou elle doit avoir. Pour le Port de Trois-Rivières, posséder une expertise maritime facilite beaucoup la prise de décisions pour l’arrivée de nouvelles cargaisons ainsi que les directives à donner au capitaine et pilote de navire qui effectuent les manœuvres d’accostage aux quais.

Quel est ton parcours professionnel dans le domaine maritime?

Pour commencer, j’ai travaillé sur différents navires (traversiers, pétroliers et vraquiers) à titre d’officier et de capitaine. J’ai acquis de l’expérience à bord de la flotte canadienne, puis une partie sur la flotte étrangère. Je suis particulièrement fier d’avoir obtenu le titre de capitaine au long cours, la plus haute distinction canadienne des brevets de navigation.

Par la suite, j’ai travaillé chez Transports Canada à titre d’expert maritime responsable de l’inspection de navires. Mon travail consistait à vérifier la gestion du navire, et plus particulièrement la gestion de la passerelle, de l’équipement et de l’utilisation du pont. Je devais aussi vérifier tout ce qui touche aux règles de Transports Canada, la prévention de la pollution, la cargaison, etc.

Avant d’arriver au Port de Trois-Rivières, soit entre 1999 et 2012, j’ai été inspecteur de navires pour la Corporation de Gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent. J’avais pour mandat de vérifier la gestion des navires dans le passage de la Voie maritime afin de veiller à la sécurité des opérations maritimes sur celle-ci. Il y avait aussi un volet sûreté à mon travail. Après l’événement du 11 septembre 2001, les réglementations sont devenues plus strictes et mieux définies. À ce moment, nous avons aidé les gouvernements canadien et américain à mettre en place ces réglementations. La Voie maritime du Saint-Laurent étant entre les deux pays, il était important de coordonner le tout. Globalement, mon travail principal était de m’assurer que les navires étrangers et canadiens qui passaient dans la Voie maritime étaient sécuritaires, en plus de limiter les bouchons de trafic.

Pour une journée type, que fait le maître de port au Port de Trois-Rivières?

Mon quotidien est très diversifié. Tout d’abord, je dois m’assurer que les navires arrivent au bon endroit, au bon moment et dans les meilleures conditions possibles, c’est-à-dire en offrant le meilleur quai selon la cargaison, la portance des poids lourds ainsi que la profondeur de la colonne d’eau. Pour les navires de croisière, je dois aussi m’assurer que les bonnes défenses de quai soient placées avec une distance adéquate puisqu’ils ne veulent pas endommager la coque avec un objet dur.

On doit aussi déployer l’ensemble des services possibles et nécessaires, incluant la documentation concernant le navire, l’équipage et les visiteurs, afin de s’assurer que tout le monde répond aux critères de sûreté maritime selon les codes canadiens de Transports Canada. On doit aussi s’assurer que les gens sont en sécurité. Il faut par exemple veiller à ce que les passerelles soient bien installées, que les gens travaillent dans des milieux bien aérés, etc.

Les services de la capitainerie sont en fonction 24h/24 et 7 jours/7. Il est important de réagir vite par exemple lorsqu’un problème mécanique survient sur le chenal ou au Port. On doit donc rester en contact avec les gens du Bureau du trafic maritime de Pêches et Océans Canada et de la Garde côtière afin de prendre des décisions rapidement.

Finalement, il y a un côté plus administratif qui vient avec mes fonctions et je dois m’assurer de faire différents suivis entre autres pour le paiement de différents fournisseurs ou la révision des procédures. 

Quelles sont les activités que tu pratiques dans tes temps libres?

Bien que mon travail demande une grande disponibilité, j’ai la chance d’avoir une famille nombreuse avec laquelle je fais des activités et aussi, j’aime prendre de grandes marches avec mon épouse!

L'agent de sécurité, un acteur important au Port


Le Port de Trois-Rivières a un périmètre d’accès restreint afin de sécuriser les lieux et les installations. Afin de veiller au bon fonctionnement du Port, il est important de s’assurer de la présence d’agents de sécurité compétents et formés. Ils sont appelés à contrôler l’accès des gens qui se présentent au Port par l’entremise des différents points d’entrée à l’aide, entre autres, de caméras de surveillance. De plus, tous ceux et celles qui travaillent, ou souhaitent pénétrer dans le Port, doivent posséder une carte d’accès émise par le service de sécurité portuaire.

Globalement, les agents de sécurité veillent à la protection des travailleurs, des espaces d’entreposage et des bâtiments situés dans l’enceinte du Port. Ils se relaient 24h par jour et 7 jours par semaine.

Saviez-vous que les agents de sécurité doivent recevoir une formation obligatoire auprès du gouvernement du Québec ainsi que du Port de Trois-Rivières avant de pouvoir exercer leur métier?

L’année 2019 marque le 50e anniversaire de l’Office municipal d’habitation de Trois-Rivières et le Port est extrêmement fier de s’être associé aux célébrations à titre de partenaire platine.

Tout au long de l’année, plusieurs activités ont été organisées afin de faire connaître les réalisations de l’organisme à toute la population. On peut y compter une exposition temporaire au Musée POP de Trois-Rivières qui présente son histoire, sa contribution et son utilité sociale au cours des 50 dernières années et une mosaïculture installée au coin des rues St-Paul et des Ursulines. De plus, en partenariat avec Culture3R, une œuvre collective a été réalisée par les locataires et est maintenant affichée sur l’un des immeubles de l’OMH.

Un livre d’histoire a également été lancé le 15 octobre dernier, date anniversaire du 50e,  afin de traduire le fil conducteur de l’histoire et l’ADN propre à l’OMHTR. Le livre s’intitule « De Jean-Nicolet à Trifluvia – Vous loger, nous habite depuis 50 ans ». Il est le résultat d’une recherche de l’historien et documentariste Jean-François Vachon.

Bref, plusieurs autres activités ont été organisées au courant de l’année et le Port tient à souligner l’engagement de l’équipe de l’OMHTR, de ses bénévoles, ses collaborateurs, ses mandants et ses partenaires. 

Pourquoi le Port est partenaire de l’OMH?

L’OMH et le Port, c’est un partenariat qui dure depuis plusieurs années et qui est en quelque sorte, naturel. Comme le Port, l’OMH a à cœur le milieu de vie dans lequel il opère et place le citoyen, l’humain, au cœur de leurs motivations à se dépasser quotidiennement.

L’OMHTR transforme des vies, des familles et nous sommes très heureux que l’occasion soit prise lors de ce 50e pour faire connaitre les réalisations de l’organisme à toute la population.

David Berthelot
Directeur Développement des affaires

David fait partie de l’équipe du Port de Trois-Rivières depuis 2015. Avant de se joindre au Port, il avait collaboré à titre de fournisseur de services pour le projet de Cap sur 2020.

 

 

Quelles sont les fonctions principales de ton travail?

Tout d’abord, je dois identifier les opportunités de croissance et favoriser la réalisation de celles-ci notamment grâce à une relation client exemplaire, mais surtout avec une approche-client innovante. Cette approche se retrouve dans mon travail tel la gestion des baux, l’identification de nouveaux corridors de commerce, la promotion du Port et de toute la communauté portuaire (utilisateurs, partenaires et clients du Port).

Je crois à l’importance de connecter avec les autres, de partager nos objectifs et préoccupations, bref, de s’intéresser à ce qu’ils veulent afin de les aider et développer ainsi une relation durable.

Qu’est-ce qui te motive dans ton travail?

J’aime rendre service aux gens que je rencontre et faire une différence dans l’atteinte de leurs objectifs. L’Administration portuaire est une organisation qui possède des valeurs très fortes et avec la qualité de l’équipe qui m’entoure, je peux ainsi partager ma créativité au quotidien. Le Port est reconnu pour faire les choses différemment et c’est très motivant pour quelqu’un qui fait du développement d’affaires. Au développement d’affaires, on se projette dans le futur au quotidien afin d’anticiper les besoins de nos clients et des différents marchés. Je suis très choyé, nous avons l’opportunité de travailler avec des gens qui ont un rôle immense dans l’économie canadienne.

Quelles sont les activités que tu pratiques dans tes temps libres?

J’aime cuisiner et apprendre de nouvelles techniques culinaires. Mais aussi, à l’image de mon travail, ma passion pour la « bouffe » me permet de découvrir de nouvelles choses, de nouvelles idées, des gens créatifs et engagés qui exercent leur métier avec beaucoup de passion.